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28.3.08

Summit NATO la Bucuresti
Birocratii americani din linia a doua la putere in SUA




Nu-i usor de intuit ce v-a aduce Summitul Nato de la Bucuresti. Pe de-o parte SUA se misca in zona noastra ca teleghidata de micii functionari/stenografi; Vezi povestea cu consilierul pe probleme de securitate nationala, Stephen Hadley, care declara ca presedintele George W. Bush "va calatori la Constadt, pe litoralul romanesc al Marii Negre, pentru a se intalni cu presedintele Vasesque". Pe de alta parte, Bush nu prea mai are multe in traista si asta s-a vazut de la discursul Starii natiunii.

Asadar, ce s-a intamplat in Kosovo si se va intampla mai departe la Bucuresti sunt evenimente pe linia birocratilor americani de la Externe si Aparare. De la acesti birocrati ne asteptam la continuarea politicii de divide si stapaneste, iar intrarea Ucrainei si Georgiei in NATO va implementa aceasta politica pe flancul eurasian al SUA. Ca bonus, niscaiva trupe din Ucraina ar fi binevenite in Afganistan si/sau Irak. Si mai multe baze americane vor face din aceste doua tari clienti pentru securitate ai americanilor. Rusii pot doar sa negocieze cu americanii un premiu de consolare, iar preturile sporite la alimente le vor fi temperat avantul neo/post-imperial. China, acest mare nevazut al scenei, este cat se poate de prezenta. Recentele tulburari din Tibet vin si ele tot pe lina politrucilor americani si lucrurile se indreapta deja spre un punct de unde nu se mai pot intoarce.

Cat despre zgomotele lui Tokes, mai avem ceva timp pana ce vor ajunge sa creeze o tornada in zona, insa nu trebuie ignorat. Cand Basescu l-a facut europarlamentar de Constanta sper sa fi stiut ceva. Una peste alta, inimile si pungile electoratului maghiar din Romania ar trebui cucerite caci in secuime s-ar putea turna un film despre epoca ceausescu fara costuri prea mari cu decorurile.



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3 comentarii:

Anonim spunea...

Bucarest tend les bras à l'OTAN... et à Washington





DEFENSE. La Roumanie, qui accueille dès mercredi le sommet de l'Alliance, mise plus que jamais sur le protecteur américain.

Richard Werly, envoyé spécial à Bucarest
Mardi 1 avril 2008


Seule manque la bannière étoilée. Vu le nombre élevé de chefs d'Etat et de gouvernement attendus mercredi soir pour l'ouverture du plus important sommet de l'OTAN depuis sa création en 1949, les autorités roumaines ont logiquement placé dans les rues de Bucarest le seul drapeau de l'Alliance: une rose des vents blanche sur fond bleu, à quatre directions.

Mais pour les habitants de la capitale, l'invité star de ce grand raout stratégique hébergé dans le fameux «Palais du peuple» des époux Ceausescu demeure George W. Bush. Pour sa seconde visite en Roumanie - la première eut lieu en novembre 2002 - le président américain, venant d'Ukraine, se rendra d'ailleurs ce mardi sur la base aérienne Mihail Kogalniceanu, proche du grand port de Constanza sur la mer Noire. Une base louée depuis décembre 2005 pour dixans par les Etats-Unis avec trois autres aires de tirs et d'entraînement. Une centaine de GI y résident, pour maintenir des structures capables d'accueillir jusqu'à 3500 soldats. L'élément clé de la future mobilité militaire américaine dans la région, avec l'aéroport militaire de Bezmer et la base de Novo Selo, en Bulgarie voisine.

En février 2003, le président roumain Ion Iliescu avait signé sans hésiter à propos de l'Irak la fameuse lettre de soutien à Washington en provenance des pays d'Europe centrale qui avait tant déplu à Jacques Chirac. Cinq ans après, rien n'a changé: «L'Amérique nous protège, c'est ainsi, juge le général Mihail Ionescu, directeur de l'Institut roumain d'histoire militaire. Nous savons ce que nous lui devons. Dans une région volatile comme la nôtre, l'Europe n'est pas une alternative sécuritaire crédible.»

Idem dans les rues de Bucarest, quadrillées par plus de 20000 policiers. Maria enseigne à l'université, non loin de ce déconcertant «palais du peuple» de seize étages, avec lequel Nicolae Ceausescu rêvait d'égaler la mégalomanie du Nord-Coréen Kim Il-sung. Pour elle, l'Oncle Sam est l'allié naturel, dérives antiterroristes ou pas: «Quand on a la Russie à côté, l'OTAN n'est pas vécue comme une alliance mais comme une garantie.» Qu'importent alors les faits révélés notamment par le Suisse Dick Marty, dans son rapport du Conseil de l'Europe sur les vols secrets de la CIA. De 2003 à 2005, plusieurs appareils C-130 de l'US Air force auraient atterri à Mihail Kogalniceanu. Des «paquets» sortis de leurs soutes auraient ensuite disparu dans trois bâtiments réservés aux Américains, sur cette base toujours sous commandement roumain. Avant d'en repartir pour le Maroc ou Guantanamo...

Le président, Traian Basescu (lire interview), a de plus toutes les raisons d'accueillir George Bush à bras ouverts. Financièrement, l'accord militaire rapporte. Plus de 30millions de dollars ont déjà été dépensés dans la région de Constanza par Washington, concourant au boom immobilier et économique de cette zone côtière. Stratégiquement, le chef de l'Etat roumain rêve par ailleurs de faire de son pays l'arbitre, ou du moins un acteur clé des grandes manœuvres énergétiques entre les producteurs de gaz d'Asie centrale, le géant russe Gazprom et les pays de l'UE engagés dans le financement du gazoduc Nabucco qui contourne la Russie et passera sous la mer Noire, tout comme Bluestream, le «tuyau» russe concurrent, dont la Bulgarie et la Serbie sont partenaires. Conséquence: Bucarest est un des plus farouches soutiens à la demande de la Géorgie et de l'Ukraine d'intégrer l'OTAN, l'un des sujets majeurs du sommet.

«La Roumanie entretient un vieux rêve de puissance régionale, estime un diplomate. Regardez Bucarest: l'arc de triomphe, le fameux palais de Ceausescu, les statues partout. Ils ont un complexe de grande nation. La proximité avec les Etats-Unis est aussi pour eux un moyen d'influence.» L'indépendance du Kosovo, rejetée par les Roumains qui craignent les velléités indépendantistes de la minorité hongroise de Transylvanie, est mise de côté: «Nous savons que la Russie nous traitera toujours en fonction de ses intérêts immédiats, conclut le général Ionescu. Former un éventuel tandem avec Moscou est de toute façon hors de question.»



«S'impliquer dans la sécurité énergétique»
Entretien avec le président roumain, Traian Basescu, hôte du sommet.
Mirel Bran, Bucarest
Le Temps: Pourquoi la Roumanie a-t-elle insisté pour que ce sommet de l'OTAN ait lieu à Bucarest?

Traian Basescu: Il y a vingt ans, la Roumanie était un Etat communiste figé dans une des dictatures les plus atroces. Aujourd'hui, nous sommes un Etat membre de l'OTAN et de l'Union européenne qui est revenu dans la famille des démocraties européennes et transatlantiques. Nous accueillons un grand nombre de présidents qui vont se pencher sur le sort de la sécurité des Etats membres de l'Alliance atlantique et de l'UE. C'est la meilleure preuve de notre évolution. Au sein de l'Alliance, la Roumanie est non seulement un consommateur mais aussi un fournisseur de sécurité capable d'organiser un sommet de l'OTAN.

- Quelle devrait être selon vous la priorité de l'OTAN en ce moment?

- L'OTAN doit s'impliquer dans la sécurité des infrastructures et des routes de l'énergie acheminée dans l'Union européenne. Elle n'est pas une organisation humanitaire, mais militaire. Elle doit assurer la sécurité des infrastructures du transport de l'énergie en Europe.

- Est-ce la raison pour laquelle vous avez invité Vladimir Poutine à ce sommet?

- Vladimir Poutine n'est pas invité au sommet de l'OTAN par la Roumanie mais par le secrétaire général de l'Alliance. Nous n'envisageons pas la construction d'une relation bilatérale avec la Russie. La présence de Vladimir Poutine au sommet de Bucarest ne peut que confirmer le désir d'un partenariat entre l'OTAN et la Fédération russe. Les problèmes de sécurité qui se posent aux Etats membres de l'Alliance se posent aussi à la Fédération russe. Le terrorisme représente une menace pour les Etats membre de l'OTAN mais aussi pour la Russie. Les trafics d'armes, de personnes et de drogues menacent aussi bien la Fédération russe que les pays de l'OTAN.

Anonim spunea...

Ambasadorul Rusiei la NATO Dmitri Rogozin
"Care este ratiunea NATO?"
-- In perspectiva Summitului de la Bucuresti, ambasadorul Rusiei la NATO, Dmitri Rogozin, a detaliat in exclusivitate pentru ZIUA punctul de vedere al Federatiei referitor la extinderea Aliantei Nord-Atlantice in apropierea granitelor sale.

















Extinderea NATO pune sau nu o problema Rusiei? Care este mesajul dvs. catre partenerii strategici?
NATO nu este o asociatie de filatelisti. Nu este nici o organizatie economica, ci o alianta militara. Iar o organizatie militara inseamna tancuri, avioane, armament nuclear etc. Cand dorim pace si securitate, desigur ca ne simtim ingrijorati cand vedem ca o masina militara se apropie de frontierele noastre. Nimanui nu i-ar placea asta. In plus, nici n-am fost vreodata intrebati. Ni se spune mereu ca amenintarea principala impotriva securitatii vine din sud. Dar, dintr-un motiv anume, NATO se exinde catre est, nu catre sud, in directia noastra. Iata un mister pe care nu-l putem explica. (...)
Cum vor reactiona politicienii si opinia publica la aceasta?
Problema care apare este legata de criza unei motivatii pentru existenta NATO. Care este ratiunea existentei NATO? Care sunt obiectivele pe care vrea sa le atinga? Mai intai de toate este problema asigurarii apararii si securitatii teritoriului tarilor membre. Dar de cine trebuie sa se apere? De martieni? Nu cred. De ursii polari in Arctica? E ridicol. De micutul Iran? Israelul este destul de puternic sa faca fata problemei, este o putere nucleara, asta chiar daca nimeni nu vrea sa vorbeasca in mod deschis despre asta. Iar Iranul nu este o putere nucleara. Si atunci, normal, apare intrebarea: impotriva cui isi construieste NATO capacitatile sale militare? Iar lipsa aceasta de motivatie duce la nevoia crearii unui dusman artificial. Refuzam la modul cel mai hotarat sa fim identificati drept dusman. Ceea ce propunem noi este transformarea NATO, deoarece acum exista conditii cu totul noi. In lumea contemporana exista amenintari comune la securitatea noastra si aceste amenintari nu sunt de ordin militar. Este vorba despre terorism, caci acum acest tip de activitate este in crestere. (...)
Care va fi atitudinea Rusiei daca, cu ocazia Summitului de la Bucuresti, NATO va anunta ca Georgia si Ucraina vor putea deveni intr-o zi membri
ai Aliantei?
Pozitia noastra este absolut clara: suntem impotriva. Ni s-a spus ca Rusia nu are drept de veto in ce priveste extinderea NATO. Desigur, nu avem drept de veto, dar ceea ce avem este cooperarea cu NATO pe care dorim s-o pastram. Si nu cred ca aceasta extindere este un lucru util deoarece astfel NATO risca sa piarda un asemenea partener strategic cum este Rusia. (...)
Si care va fi atitudinea Rusiei daca Osetia de Sud, Abhazia si Transnistria isi vor proclama unilateral independenta, argumentand cu precedentul Kosovo?
Asta am spus mereu: modelul Kosovo este foarte primejdios. In Rusia exista mai multe opinii, mai multe puncte de vedere, dar pozitia Kremlinului a fost mereu de sprijinire a unitatii teritoriale, fie ca este vorba despre Moldova sau Georgia. (...)
Ce parere aveti despre posibilitatea evocata de presedintele Voronin ca tara sa solicite intrarea in NATO, chiar daca asta va insemna recunoasterea independentei Transnistriei? Vedeti acest lucru ca posibil?
Doresc sa reafirm din nou ca sustinem si respectam integritatea teritoriala a Republicii Moldova. Iar daca cei de la Chisinau si Tiraspol vor gasi formula pentru a trai impreuna in cadrul aceluiasi stat, desigur ca Rusia nu va avea nimic impotriva. Iar aceasta formula de convietuire trebuie sa ia in calcul existenta Republicii Moldova ca stat independent. Daca anunta acum decizia de a adera la NATO, sigur ca Tiraspolul se va opune si ne vom trezi in fata unei situatii similare cu cea din Georgia.
Cristian UNTEANU, Bruxelles

Anonim spunea...

Santajul rusesc cu scutul....
....antiracheta se va fasai curand. Este evident ca Putin a priceput ca efectul scutului va fi la fel cu cel al razboiului stelelor al lui Reagan asupra lui Gorbaciov daca Rusia va fi impinsa sa-si faca si ea scutul sau, asa ca doreste un deal ca sa intre si el un pic sub scut. Ramane de vazut ce va oferi - mai mult ca sigur va colabora in Afganistan si va temporiza "nuclear" in Iran, asa cum o face deja de catziva ani. Dar trebuie ca deal-ul sa se faca repede, caci noua administratzie americana s-ar putea sa o trantesaca rusilor raspicat: scutul e DEFENSIV, nu poate AMENINTZA, doar DESCURAJA.
Rusia este acum un colos cu picioarele de lut - economia si tehnologia - dar cu tupeu jucand la cacialma cu robinetul gazelor. In 2008 Rusai nu are NICI UN AVION MODERN nici civil, nici militar. Nu are nici un sistem cosmic performant de tip naveta spatziala. Nu are nici un tip modern de submarin nuclear strategic. Are bombe nucleare si rachete dar stie bine ca degeaba le are in cazul unui scut anti-racheta. Daca occidentalii nu vor contribui prosteste ca in anii 20-30 ai secolului trecut la refacerea sa tehnologica, Rusia va fi pusa cu botul pe labe definitiv in momentul in care va apare alternativa asiata centrala la gazul sau. Totul este ca pana atunci "penetrarea" evidenta a establishmentului german - gen Guillaume - Willy Brandt - sa nu imparta cu verhushka fesebisto-krasnoarmeitza spatziul de la Baltica la Marea Neagra dupa modelul Molotov - Ribbentrop.

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